Je suis venu au monda à Cernay, le 5 octobre 1849, le dernier, c’est assez dire que j’étais le benjamin de la maison.Un de plus dans une pauvre famille d’ouvrier, c’est une rude charge, un surcroît de privations, souvent la cause qu’on ne l’accueille pas toujours joyeusement ; mais...
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