Pierre Barbès se définit comme un artisan de paix engagé dans le développement de l’esprit civique. Il réalise cet engagement à travers les cercles (Mouvement vers l’esprit communautaire) et la formation à la sociocratie (Sociogest). Il participe à des activités d’éducation à la foi chez des adultes et au soutien pastoral de sa communauté chrétienne.
Au plan professionnel, il est titulaire d’une Maîtrise ès arts en didactique (1997), d’un baccalauréat en criminologie (1970) et d’une licence en théologie (1967) de l’Université de Montréal.
Au cours de sa carrière, il a assumé diverses fonctions dans deux Cégeps : professeur en Techniques d’assistance sociale et d’éducation spécialisée, coordonnateur départemental, responsable des stages; membre du Comité des relations de travail, de la Commission pédagogique, du Comité de perfectionnement et du Comité du programme d’aide au personnel. Il a par ailleurs été conseiller et secrétaire-trésorier de l’Association québécoise de pédagogie collégiale (1984-1990). Il a publié Je mène ma supervision aux Éditions Saint-Martin (2001).
Il est aussi l’auteur de recherches : «Niveau conceptuel et apprentissage» (1983) et «J’apprends quand je fais : l’intégration théorie-pratique chez les élèves, vers la construction d’un savoir professionnel» (1997).
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Ses contes de l’au-delà contiennent six contes de Noël et viennent d’un au-delà tout proche.
· Ils ouvrent à une démarche de prise de conscience, d’approfondissement et d’intériorisation progressive en direction de son être essentiel.
· Ils parlent au même au-delà déjà vu et déjà senti à l’intérieur de chaque être : ils parlent du cœur à l’âme.
· Ils parlent de la source de vérité en soi, du sens de sa vie.
· Ils suggèrent le contact avec son âme, la prise de conscience de sa nature profonde, de son unité intérieure, de ses capacités d’expression.
· Ils convient à l’expression de la perfection de son être et de sa mission dans l’invisible.
· Ils éveillent au goût de créer, de se créer, d’honorer son nom, expression de son être, vers l’accomplissement en la totalité.
Les temps sont durs, les idées sont molles. La guerre des looks remplace l’affrontement des projets de société. Droite et gauche se divisent sur les moyens de réaliser les mérites valeurs. Alors fin des révoltes, des utopies et des systèmes ? Fin des idéologies ? Ou, au contraire,...
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