Stéphane Hubert écrit depuis l'âge de 20 et est aussi un grand lecteur, ceci depuis sa plus tendre enfance. Il a surtout écrit des nouvelles et des poésies et a été publié à plusieurs reprises dans des revues. Il a exercé de nombreux métiers, dont celui de joueur d'échec en participant à des tournois et en créant des animations autour de ce jeu dans des écoles ou associations. Actuellement, et depuis quelques temps déjà, il a décidé de se consacrer à l'écriture tout en étant parallèlement pianiste amateur. Ses goûts pour la musique se tournent aussi bien vers le classique que vers le jazz.
En 1998, il a obtenu en Belgique, le premier prix décerné par une association d'écrivains francophones pour une nouvelle qui parut ensuite en France dans deux revues différentes. Essayant d'être le plus éclectique possible dans ses choix de lecture, ses intérêts personnels peuvent se porter aussi bien vers la littérature arabe, américaine, italienne, russe ou japonaise. Pour preuve, ses auteurs préférés sont Salinger, Cortazar et Italo Calvino.
La dimension Oméga est le fruit de ce parcours riche et atypique.