Pantalla :
Théo Gossein est un artiste malade dont le traitement lui bloque toute créativité. Il vit reclus dans son atelier sans jamais voir personne ; il n’est plus capable de poser une seule couleur sur une toile....
Avec cette collection, Cosimo Ferri nous fait redécouvrir un monument de la culture occidentale : Homère et la mythologie grecque, et particulièrement le plus grand de ses héros : Achille. Fidèle aux...
« hors soi guetter des îlots – frôler des aubépines – semblants de vies des contours aux effluves mouvantes (on croirait des semblables) afin de mais sans le dire à quoi bon l’air d’y toucher »
Patrice Bauduinet a eu l'idée originale de demander à toutes les personnes qui croisaient son chemin de bien vouloir coucher sur le papier leur VISION DU SEXE féminin et masculin. Trois ans plus tard,...
Un chant lumineux au monde. « Comme me brûle cette terre De feu vivant D’avoir chanté A l’unisson du monde. »
Vers et prose en échos à l'amour, à l'absence. « L’équilibre du fil des jours à chaque instant vacille de l’absence au sourire il manque quelque part comme un point d’horizon à la pâle embrasure de nos...
Nous retrouvons dans ce recueil des éclats du quotidien, de cette beauté, furtive, qui nous est donnée. « Bolée de vert qui ruisselle d’aimables borborygmes pêle-mêle érables hêtres chênes fouillis...
« Ces carnets sont, dans l’esprit du Journal extime de Michel Tournier (à qui le titre souhaiterait rendre hommage), une tentative d’écriture de l’être, non pas dans une démarche introspective et close,...
Carnet délicat et ciselé entre neige et Bretagne. « On y recueille le silence les bruits de la mer toute proche »
Une délicate intimité entre fêlure et lumière. « La main promenant son étoile à la lucarne Ne garde de tout ce sable Que le galet au visage »
« On en finit pas De regarder tomber la pluie On délègue pour un temps Le chagrin aux fenêtres On voit bien Qu’un ciel trop bas Se déleste de sa clarté Et on assiste Impuissant Au démantèlement...
La rencontre de deux solitudes. Leur face à face au travers de dialogues, poèmes, textes de chanson. Texte de l’adaptation théâtrale : "Ce Court instant de bonheur". « Quelquefois, quand les nuits s’interminent,...
De l'exil du deuil au silence habité. « Quelque chose comme la dureté d’une pierre, qui fond larme à larme Quelque chose qui laisse place à une tendresse inconnue »
Du fond des mots, l'enfance, le silence des silences. « Sur une île à fleur d’eau Le pied posé sur l’eau Ton chant éclate à la merci du ciel »
Hommage poétique en écho aux poétesses Anise Koltz et Dorotea Montoya Sanchez.
« Un corps, une vie - si peu : quelques souvenirs, secrets, silences ; un être, une vie - tout : une existence éternelle. » Vincent Motard-Avargues
Ce recueil en miroir se prolonge en échos : "Par l'appel témoigner" et "Se fissure l'indicible". "Aux chemins des garrigues arracher des mots entaillés aux étoiles."
Prose poétique. Entre mélancolie pluvieuse de l'absence, du temps qui passe et espérance de l'attente.
Textes brefs et haïkus au gré des saisons. « Reflets éclos sur l'eau lumière du crépuscule balayée la solitude »
Dans une écriture sobre et poétique l'auteure nous donne à voir la lutte d'un homme, après la mort de sa compagne, pour réinvestir le quotidien.
Premier recueil du triptyque constitué de "Tombeau des belles disparues" et "Poème pour Indochine". Au cœur de la mémoire. « scrupule au creux du poème la simple blessure d’un grain de sable »
Un récit d'enfance, tout en émotion et en tendresse, avec une langue originale. Prose poétique. « C’est une pluie d’étoiles qui vous tombe dessus ! Une petite merveille… » Michèle Bur, France 3 Alsace....
Entre douceur de vivre, parfum estival entre soleil et mer. « veillez veillez de vos yeux emprisonnés scrutez la beauté donnée »
La fuite d’un adolescent au cœur d’une nature hostile. Un texte fort servi par une plume alerte et corrosive.
Silence et méditation, paysages enneigés. « Un chemin mot à mot une écriture pierre à pierre quand j’ai neigé longtemps de solitude et jeûné de silence »
Histoire d’un ravissement amoureux, en 93 poésies photographiques et quelques chuchotements.
366 haïkus, au fil des jours et des saisons. « La lune et moi bavardant encore minuit passé »
Stèles poétiques, aux accents bibliques, en mémoire des disparues dans les camps de la mort. « en ce temps-là ne l’oublie jamais la bête se promenait dans le monde comme en son jardin »
Poésie érotique. « On ne peut écrire la mort ni la jouissance. La mort parce qu’on n’est pas là pour en parler, par définition. La jouissance parce qu’elle reste inconsciente, on n’en connait que les...
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