Mon vieux manoir est toujours sous la neige Sur le sommet du mont aérien ; Pauvre isolé, c’est Dieu qui m’y protège ; Hors votre oubli, je n’y redoute rien : Qu’attendez-vous pour rendre à son ivresse Mon cœur, flétri, trop longtemps sans espoir, Vous, l’œil voilé d’ineffable tristesse,...
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