Tout poème, chez Alain Borne, est l’équivalent d’un supplice déjoué. La vie devait lui infliger une souriante horreur, mais il le cachait. Il s’élevait au-dessus de ses pièges et c’était un enchantement de blanc et de froid qui, parfois, nous valut aussi des proses marquées de douleur...
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