Andreas Altmann étudie d’abord les arts dramatiques et entame, jusqu’en 1979, une carrière de comédien, notamment au Schauspielhaus à Vienne et au Bayerischen Staatsschauspiel de Munich.Il effectue de nombreux voyages, en particulier sur le continent africain, qu’il a même traversé entièrement, depuis l’Égypte jusqu’au Cap, sur le toit d’un camion. Il a parcouru les États-Unis et sillonné l’Inde en train. Les hommes qu’il a rencontrés et les situations auxquelles il a été confronté lors de ces périples lui inspirent, à la fin des années 1980, ses premiers écrits : il rédige de grands reportages pour des magazines comme Geo, Stern, Frankfurter Zeitung, Die Zeit, Süddeutsche Zeitung, Mare, etc. En 1992, il s’installe à Paris où l’écriture de ses livres devient peu à peu le centre de sa vie. Il a adopté un mode de vie minimaliste, inspiré par un assez long séjour dans un ashram indien et les huit mois qu’il a passés dans un monastère zen, en débarrassant sa vie et son logement du superflu, télé comprise. Il se dit sensible à la critique de la religion qu’a exposée le biologiste Richard Dawkins autant qu’au bon mot de Karl Kraus : « Y a-t-il une vie avant la mort ? » C’est en 2011 qu’il publie ce récit autobiographique.
Las durísimas memorias familiares del escritor Andreas Altmann, marcada por la relación con su padre, un ex funcionario nazi que impuso la violencia y el terror en su propia casa.«Mi madre fue la primera víctima de la violencia a quien conocí», escribe Andreas Altmann en estas duras...
Más información