Oh ! grandes sont ces voix de la belle nature :Le vent qui pleure, et puis la mer,Lorsque calme, elle joue avec sa chevelure,Lorsque bondit son sein amer.Et l’orage en grondant... tout cela sympathiseAvec un homme au front pensif :N’a-t-on pas vu Shelley, pour écouter la brise,Périr...
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