C’est la première fois de ma vie que me prend l’envie d’écrire. Je ne saurais pas vous expliquer précisément pourquoi, mais le bonheur que me procure la lecture de San Antonio ou de revues comme Schnock y est pour beaucoup. Mon intention initiale était d’écrire un roman noir, mais passé les premières pages, Pétunia, mon héros, s’est retrouvé entraîné dans des aventures plus proches de James Bond. Un héros bien malgré lui, dont l’humour potache le fait réagir avec un calme décalé par rapport aux situations, à la « tontons flingueurs » ou, j’ose le dire, Austin Powers. Se serait-il laissé entraîner dans de telles péripéties bien éloignées de son quotidien sans la présence de Julia ? En fait je n’en sais rien. Je me suis retrouvé obligé de le sortir de situations extrêmes un peu contre mon gré et mon intention initiale. Je ne pouvais tout de même pas laisser tomber dans les griffes mafieuses un personnage que j’avais créé.
Une organisation mafieuse s'empare de plusieurs milliers d'oeuvres d'art des grands Musées Nationaux européens. Petunias Walter Majorès, tranquille quadragénaire, se trouve embarqué malgré lui dans une course-poursuite lancée par les services secrets pour récupérer ces oeuvres et...
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