Le 24 août 1847, j’étais allé aux courses de Saint-Gilles, en compagnie de mon oncle Auguste. Le soir, « Grand bal. » Mais mon oncle n’avait pas voulu rentrer de nuit, et nous revenions dîner à Coëx, au galop du cabriolet. J’étais joyeux, mais las ; je m’étais assoupi. Le cheval...
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