Bien avant les bombes de la Libération, Lorient avait perdu le prestige dû à la Grande Compagnie des Indes. Ceux pourtant qui ont aimé ses rues au début du siècle, injustes envers la cité moderne, en parlent comme d’un paradis, celui de leur jeunesse. Ainsi fait Joséphine Le Bihan,...
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