Diane Meur, ancienne élève de l’École normale supérieure, a notamment traduit des textes de Paul Nizon, Robert Musil, Heinrich Heine, ou encore Erich Auerbach. Elle a obtenu en 2010 le prix Halpérine-Kaminsky pour l’ensemble de son œuvre de traduction. On lui doit, dans la GF, les éditions de la Lettre d’une inconnue, de Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, d’Amok et du Joueur d’échecs de Zweig. Elle est par ailleurs l’auteur, chez Sabine Wespieser, de plusieurs romans : La Vie de Mardochée de Löwenfels écrite par lui-même (2002), Raptus (2004), Les Vivants et les ombres (2007) et Les Villes de la plaine (2011).
Je savais que Felix Mendelssohn le compositeur (1809-1847) était le petit-fils de Moses Mendelssohn le philosophe (1729-1786), et longtemps je n’en ai pas pensé grand-chose. Un jour pourtant, j’ai pensé à l’homme qui avait été le père du premier et le fils du second. Quel merveilleux...
Más información