Si tu pouvais arrêter de pleurer sur mon toit. Si tu pouvais marteler mes nuits d’un peu plus de joie… ? Il faut croire que c’est toi, Qui sur mon sort s’apitoie ? Si tu savais l’écho fade de tes petits cris plats Qui résonne une indignation sans voix. Oui, tu nous mouilles de certitudes...
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