Le recueil s’ouvre avec Je vis pédé : je dis pédé / parce que c’est ma vie / parce que ça salit / mais qu’on s’en fout / que ça suinte / que ça sente / et qu’on brille / comme des lucioles / des astres en feu / dans la nuit. Et les garçons, la nuit, s’envolent, en quête d’affection...
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