Hans Küng, jeune théologien brillant d’origine suisse, fut expert au Concile Vatican II (1962-1965) en même temps que Josef Ratzinger. Ils sont dans la majorité qui veut réformer l’Église. Küng, très vite, prend des risques et se trouve en difficulté avec l’Église. Au contraire, Ratzinger devient de plus en plus « conservateur ». L’un aura tout au long de sa vie des démêlés avec son Église. L’autre finit pape. Ceci explique sans doute cela : la sévérité de Küng envers Benoît XVI relève aussi d’une amitié et d’une confiance trahies. Derniers livres de Hans Küng au Seuil : Petit traité du commencement de toutes choses (2008) et Faire confiance à la vie (2010).
¿Se puede liquidar el acto de orar en un gesto de impotencia y debilidad que nos mantiene pasivos encomendándonos a la omnipotencia divina y olvidando la fuerza que puede emanar de ella? ¿Solo hay sumisión en la oración, sin tan siquiera resistencia? El autor reflexiona sobre la...
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