La presse ne s’y est pas trompée. À la sortie de son second roman, Hans Limon fut décrété nouveau dandy de la scène littéraire française. Rien que ça.
Né en 1985 à Calais, Hans est poète, dramaturge et romancier, ainsi que professeur de philosophie et de théâtre. Il est l’auteur de plusieurs pièces dont Frères inhumains (éditions Évidence, 2017) lu pendant le festival OFF d’Avignon et romans : Déchirance (éditions Le bateau ivre, 2017) et Poéticide (éditions Quidam, 2018). Il a également publié dans une vingtaine de revues, dont L’Humanité, La Revue des Deux Mondes, IntranQu’îllités, Europe et Diacritik.
Hans ne cesse de jouer avec les mots, qu’il triture parfois avec violence, parfois avec tendresse, souvent avec humour. Il en ressort des textes à la poésie brutale et à la langue acérée, qui transforment chaque souffrance corporelle ou psychique en envolée lyrique. Comme l’écrit à son sujet Olivier Steiner dans Diacritik : « Une sorte de Balzac, avec une touche d’Antonin Artaud, une touche de Koltès, une touche de Rimbaud, vous voyez quoi, une sacrée touche. Donc il fait, il est poète. C’est étymologique. Il écrit du théâtre et penche du côté du roman, ça viendra. »
C’est venu : Comète est son troisième roman.
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