La profondeur, et l’exaltation, dans la tristesse des vers, trop rares, qu’offre ici Hubert Gravereaux au lecteur, font regretter qu’il soit à ce point avare de ses chants. Son « Enfant de la haine et de l’amour » fait penser à certaines phrases de M. Georges Duhamel lorsqu’il écrivait...
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