« Les racines perdues » c’est la peinture d’une « quotidienneté », un camaïeu bourgeois sur lequel une vraie femme, Françoise, pose son regard. Ni Emma Bovary, ni féministe, l’héroïne est à la fois fragile et rêveuse, conséquence d’une enfance sans joie – « les orphelins sont élevés...
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