C’est sans penser à mal que Jacques Baeyens, qui se trouvait "haut le pied" au Quai d’Orsay à Paris, accepta au mois d’octobre 1956 le poste de "conseiller diplomatique du commandant en chef des Forces françaises d’Orient". Retour d’une ambassade en Éthiopie, rien ne le prédisposait...
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