Paul ne monte plus, Galopin, son cheval. D’ailleurs, il n’est pas revenu à Clayeures depuis le 6 août 1914, date à laquelle, il s’était rendu, avec son régiment, dans une petite commune frontalière, nommée La Marche. Il s’agissait de voir si l’ennemi s’y trouvait déjà. La guerre...
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