Lisa Refur est née en France d’une mère slave et d’un père islandais. Après avoir beaucoup voyagé, elle s’est installée dans son pays d’origine, qui reste son préféré, pour y écrire moult histoires plus passionnantes les unes que les autres – c’est du moins ce qu’elle imagine. Elle se sent plus à l’aise avec les formats courts qu’avec les saga en quinze millions de volumes comme en produisent les anglo-saxons – et ce malgré son héritage paternel.

Elle aime le chocolat (en quantités déraisonnables), le thé (par litres), les renards (surtout s’ils voyagent dans le cosmos) et la précision du vocabulaire quitte à violenter le niveau de langage. Son plus grand ami est, parait-il, un dictionnaire des synonymes. Mais sa véritable passion, c’est d’inventer : des univers, des personnages, des situations tarabsicotées, des récis alambiqués et même, parfois, des biographies fictives.

En théorie, son prénom se prononce avec un « s » sourd et non un « s » voisé ([ljɪ.ˈsa]), mais elle a depuis longtemps abandonné l’idée de faire comprendre cette sublitité aux francophones.