...Où s’ouvrent l’arbre, la caresse, la pluie où les choses veillent - encloses, dociles, dedans. Le regard s’y enfonce, s’y brûle, c’est le lieu de l’image, du temps rond, des saisons intactes, un lieu d’avant la déchirure d’une enfance qui n’en finit pas. La parole restitue, refond...
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