C’est à travers des séminaires de philosophie organisés au Centre des Arts islamiques où elle-même travaillait en tant que journaliste freelance que Solouki a fait preuve de ses talents littéraires. L’interdiction de publication de deux de ses ouvrages fut à l’origine de son exil en France. L’apprentissage de la langue française lui a permis de libérer ses mots de la sainte prison de la République Islamique.
Glaive du cœur examine minutieusement la religion à travers les légendes et les traditions millénaires qui renaissent dans les faits réels. Celle de Zahhak, symbole de destructeur des cerveaux, est la trame de fond de ce récit, processus d’investigation mystique dans lequel les personnages...
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