Dans son nouveau roman, très justement intitulé Triste jeunesse, Mohamed Nedali dresse un portrait de la jeunesse marocaine désabusée : on ne peut pas travailler, on ne peut pas s'aimer, on est condamnés à la pauvreté et à la souffrance. Saïd aime Houda, Younès aime Latifa. Dès l'évocation...
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