« A vrai dire je me sentais une dette vis-à-vis de Pierre Overney, une dette que Maos, mon précédent roman, ne me semble pas avoir comblée. J’ai songé qu’il eût été dommage de ne pas tirer un récit des milliers de documents que j’ai lus, de la soixantaine d’interviews que j’ai faites...
Más información