Pascal Brunner a tenu tête au « crabe ». Avec dignité, pugnacité et lucidité. Son parcours du combattant, il le raconte sans pathos. Il s’empresse d’en rire de peur d’être obligé d’en pleurer. L’auteur nous livre un récit poignant et surprenant. Exemplaire parce qu’authentique.
« Ça va être ma fête ! », plaisante Pascal Brunner qui s’attend à une note salée mais se tient prêt à la payer. Le chirurgien confirme d’un signe de tête. Le couperet tombe le 17 mai 2011, le jour de la Saint-Pascal. Pendant une année, l’artiste va lutter contre un « joli cancer...
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