A M. Auguste BarbierParce qu’à l’heure où je vous parle l’Arno se traîne huileux et triste, que d’étiques voitures promènent à la lune leurs armoiries, et que les vestes blanches inondent le pont de la Trinité ;Parce que ces bancs fourmillent d’abbés, de journaux et de marchandes...
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