Santô Kyôden (1761-1816), né dans un quartier populaire d’Edo, connut d’abord la gloire comme peintre d’estampes. Il fut victime de la censure du gouvernement, inspiré par une morale rigide qui n’appréciait pas l’esprit de dérision.
« C'est fou les souffrances qu'il faut endurer pour devenir un galant reconnu ! »
Fils unique de la famille Bonamour, Enjirô croit que les pièces d’or qu’il distribue généreusement vont lui permettre de se faire un nom dans le quartier des maisons closes de la capitale et le rendre...
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