Est-ce parce qu'elle est née pendant les événements de mai 1968 que l'autrice se destinait à une vie mouvementée, mue par une soif de relations égalitaires, une idéologie que son auteur préféré lorsqu'elle était adolescente, Charles Baudelaire, résumait dans cette phrase "Les chemins bourbeux rendent plus désirable l'aube spirituelle et tenace l'exigence d'un idéal" ? Il y a cinq ans, Virginie a dû arrêter son métier de chargée de communication dans une entreprise de plus de 800 salariés à cause d'une maladie invalidante : l'algie vasculaire de la face. Déterminée à ne pas rester les bras croisés, constatant que les activités qui la rendent heureuse sont les voyages et l'écriture, elle se lance. Dans de grands et beaux voyages mais aussi dans l'écriture. Encouragée par le premier prix d'un concours littéraire organisé par le Relais du Bois St George, à Saintes, elle se lance dans cette autofiction. La tenace exigence d'un idéal est son premier roman, inspiré d'un journal qu'elle a tenu pendant plus de vingt ans, sur les conseils d'un psychiatre. L'autrice espère ainsi que les conseils partagés pourront aider chaque lecteur.trice à traverser la vie.