Après le succès de son premier roman, La nuit des calligraphes (Fayard, 2004), traduit en treize langues et couronné par le Prix de la découverte Prince Pierre de Monaco, le Prix Cavour (Italie), et le Prix Kadmos (Liban), Yasmine Ghata a publié Le târ de mon père (Fayard, 2007) qui, de l'avis de tous, confirmait son talent.
« À six ans, jouer l’ignorance quand on a parfaitement compris. Mourir n’empêche pas un père de revenir à la maison. Mourir est un acte comme un autre. Quelle disparition l’empêcherait de dormir, de parler et de manger? Tout ça n’avait aucun sens dans mon esprit. J’ai imaginé que...
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