Al Alvarez (Londres, 1929-2019) fue un poeta, escritor y destacado crítico literario. Figura polifacética, también fue un apasionado del deporte, especialmente del atletismo y la escalada, así como un fanático del póker. Como crítico y editor de poesía en el diario The Observer, entre 1955 y 1965, ejerció un papel fundamental en la difusión de nuevas voces de jóvenes poetas como Sylvia Plath y Ted Hughes, dos autores con los que forjaría una estrecha amistad. En 1971, con El dios salvaje (1972), su reconocido ensayo sobre el suicidio, inició la que sería una fructífera obra literaria basada en gran medida en sus propias experiencias. A este le siguieron poemarios, novelas y otros libros de no ficción con los que recorrió temas tan dispares como el divorcio, los sueños, el póker –The Biggest Game in Town (1983)– o el montañismo, tema central de Alimentar a la bestia (1988).
Su última obra, En el estanque. Diario de un nadador (2015) es un diario sobre la última de sus aficiones: nadar en invierno en los estanques del parque de Hampstead Heath, en Londres.
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Colección
Bibliothèque anglo-saxonne
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Envoyé du New Yorker, le poète Al Alvarez se rend à Las Vegas pour faire un reportage sur le Championnat mondial de poker de 1981.
Las Vegas est alors l’une des villes les plus extravagantes des États-Unis, une ville qui n’a qu’une promesse : votre vie peut changer d’une seconde à l’autre... si vous avez de la chance.
Des millions de gens venus du monde entier jouent aux tables de poker, mais une poignée à peine se risque aux plus grosses tables. Les fortunes changent de main, le poker devient alors un sport extrême. Les joueurs sont tout autant aveuglés par le romantisme des grandes pertes que des grandes victoires, ou, comme l’explique l’un d’entre eux : « Notre poker est un art, les autres se contentent de tirer sur une cible mais nous, notre cible est vivante, et elle riposte. »
Dans ce livre, considéré comme « le meilleur jamais écrit sur le poker » et traduit pour la première fois en français, l’auteur, joueur lui-même, décrit avec finesse et humour l’élite du poker professionnel. Un hommage au hasard et au risque, une réflexion brillante sur l’argent et le capitalisme, et une lecture délicieuse qui rappelle que « le sexe, c’est bien, mais le poker, ça dure plus longtemps ».
« [La prose d’Al Alvarez] est une célébration des moments les plus simples et les plus beaux de la vie. » - Philip Roth
« Al Alvarez est l’homme le plus généreux et aimable que vous et moi rencontrerons jamais. » - John Le Carré
Al Alvarez (1929-2019), poète et journaliste anglais, a tout quitté pour écrire des essais sur les sujets qui le passionnent et l’obsèdent : le poker, l’escalade (Nourrir la bête, 2021), le suicide, le divorce, la poésie, la natation quotidienne dans un lac...
Título : Le plus gros jeu : Une chronique éblouissante sur Las Vegas et ses joueurs de poker
EAN : 9791022612951
Editorial : Anne-Marie Métailié
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